7% des hôtels de la capitale sont labellisés développement durable. Un chiffre encore trop faible pour la première destination touristique au monde.

S’il est aisé de s’y déplacer à Vélib ou en Autolib, d’y trouver des restaurants bio et d’y acheter des produits équitables, Paris, première destination touristique mondiale, n’est pas réputée pour son hôtellerie écolo-responsable.
Bien que le bilan carbone des 29 millions de visiteurs en 2012 soit difficilement chiffrable, les hébergements touristiques sont directement concernés par les problématiques liées à l’environnement: chauffage du bâtiment, consommation d’eau, courses, déplacements, gestion des déchets ménagers et industriels…